Il est une tradition d\'après laquelle en Haïti aucune association culturelle ou mondaine ne peut avoir une longue vie.

Par William J.

Qui, de l'ancienne école en général, du lycée Philippe Guerrier des Cayes, en particulier, et des disciples du professeur Clarel Joseph surtout, ne se souvient de cette phrase du héros cornélien lue et relue, commentée plusieurs fois par ce professeur si mal aimé, si mal compris du moment et ironiquement appelé Clarel "vòlò bòbòt" : « Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années ».

Depuis l'année 1978 où la belle équipe de la BHOLAGUIRA apporta son aide au Maire Jacques Legagneur en organisant elle-même les festivités carnavalesques aux Cayes , la population rigaudine a perdu le goût de ces belles festivités organisées avec art, savoir, ordre et méthode.

In Memoram à Me ALPHONSE PIARD par William J.